Archives pour la catégorie vidéos

15 juin 2013

Charlie le Labrador chante Springsteen

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Je vous présente Charlie, l’ami de mon fils Vincent.

CHARLIE LE LABRADOR photo MUDD LAVOIE

Le mois passé, Charlie était en charge de répondre au téléphone et de surveiller la bière pendant que mon fils et moi étions occupés à peinturer la maison.

VINCENT PEINTURE SA MAISON photo MUDD LAVOIE

Ça c’est Vincent qui peinture la moitié du haut.

MUDD LAVOIE peintre en bâtiment

Ça c’est moi qui peinture la moitié du bas.

Bien sûr, y a  toujours d’la musique qui joue. Et Charlie ADORE chanter. Le voici d’ailleurs qui accompagne Springsteen sur l’intro de Thunder Road.

ROCK ON !

P.S. : Pour voir l’intérieur de la maison de mon fils, rendez-vous sur mon billet du 29 juillet 2012.

23 avril 2013

mon sous-marin dans les montagnes

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Eh bien, mes chers frères et soeurs, je déménage le 1er juillet. Je quitte St-Jovite, alias Mont-Tremblant, et je retourne à la ville.

YESSSSS !

Venez donc faire une p’tite visite du logement dans lequel j’habite en ce moment… des fois que vous seriez curieux. Désolée pour la piètre qualité de la vidéo mais j’utilise mon appareil photo Sony, circa 2005 — appelons ça du cinéma guérilla, HA !

21 mars 2013

mon fils chante Springsteen… pour moi

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Ce soir, mon fils Vincent a mis cette vidéo sur Facebook…
avec le message suivant :

« Back in the days, ma mère blastait de la musique dans la maison à n’importe quelle heure, mais surtout du Springsteen. Je crois que c’est d’elle que je retiens cet amour si grand pour la musique. Celle-là est pour toi Mom….luv you xxx »

(I’m on Fire — Bruce Springsteen)

Je suis une mom chanceuse ou quoi ?!!!

P.S. : En rappel, voici Vincent qui chante Hunger Strike, de Temple of the Dog.

bannière rouge jaune verte

9 août 2012

30 jours de GRATITUDE – jour 22 (JAZZ)

Je suis reconnaissante d’avoir assisté au Festi Jazz, hier soir, parce que j’ai tendance à changer d’idée à la dernière minute — surtout depuis que j’habite dans les montagnes où tout me semble si loin et que je n’ai pas d’auto — et comme de raison les gros nuages sombres se sont pointés dès que j’ai mis le nez dehors, à 19h00, et je suis tellement fatiguée d’être reconnaissante à tous les jours et d’avoir à écrire mes billets tout en trouvant une façon de ne pas trop vous ennuyer et c’est à peu près ça qui est ça pour ma GRATITUDE #1.

NOTE À MOI : Respire. La gratitude devrait être facile et non épuisante. Arrête de te plaindre que t’as pas d’auto, tu conduis même pas.

Je suis reconnaissante d’être arrivée au Festi Jazz alors que le soleil se couchait et que la pluie n’avait pas encore commencé à pleuvoir parce qu‘ainsi j’ai pu me promener sans parapluie et écouter l’excellent concert de piano donné par Julie Lamontagne tout en regardant le *happening* dans le ciel — les gros nuages d’un noir métallique dévoraient les nuages de ouate blanche, bleue et rose. Ô monde cruel.

Je suis reconnaissante d’avoir trouvé une chaise et une place pour l’installer sous un chapiteau parce que 30 minutes avant l’Hommage à Billie Holiday de Kim Richardson, la pluie s’est abattue sur nous. (BRAVO au staff du festival pour la rapidité avec laquelle vous avez monté les chapiteaux. Vraiment. Chapeau !)

KIM RICHARDSON (FESTI JAZZ MONT-TREMBLANT) photo MUDD LAVOIE

Je suis reconnaissante pour l’appareil photo Sony que ma bonne amie Charlotte m’a offert pour mon anniversaire, en 2005, parce que je n’en reviens pas de la qualité du son dans cette vidéo que j’ai tournée de Kim interprétant Body and Soul.

Désolée pour les quelques secondes qui manquent au début mais la pluie sur le toit du chapiteau dégouttait sur mes genoux et je devais tenir mon parapluie entre mes cuisses tout en filmant… donc pas d’Oscar pour moi. En passant, ça n’a pas pris de temps que la pluie s’est arrêtée = magie !

JE T’AIME, CHARLOTTE !

Je suis reconnaissante de ne pas avoir été attaquée par un ours ou un pékan¹ sur le chemin du retour parce qu’il était 22h47 lorsque j’ai quitté le concert et qu’un moment donné je dois longer la lisière du bois et l’éclairage n’est pas fort alors ça fait peur et ça donne des frissons. Même le fait de monter ma rue m’a paru une éternité ; à mi-chemin, il n’y a plus de lampadaires et ça fait travailler l’imagination en gériboire. Mais la bonne nouvelle dans tout ça, c’est que je crois avoir battu mon record personnel : 2,3 km en 25 minutes. Si je n’avais pas eu besoin de ralentir en montant la côte — n’oubliez pas, je travaille à me refaire une santé, moi, là là — je serais sûrement rentrée en moins de 20 minutes.

MERCI À L’UNIVERS !

(1) Je vous donnerai plus de détails sur la menace du pékan le 30 novembre prochain. Inscrivez ça à votre agenda.

Pour en savoir davantage sur le Jour 22 du GRATITUDE CHALLENGE, allez vous promener sur le blogue de Nicole Cody.